Agent de recherche Insectarium Espace pour la vie
Agent de recherche Insectarium Espace pour la vie
André-Philippe Drapeau Picard est entomologiste et agent de recherche à l’Insectarium de Montréal à Espace pour la vie. Il s’intéresse aux relations humains-arthropodes. Il collabore à différents projets de science participative, notamment Mission monarque, eButterfly et l'Atlas des papillons de nuit du Québec.
André-Philippe Drapeau Picard siège sur le comité de l’axe 3 (Science citoyenne) du projet PARCS en Santé et joue un rôle clé dans le développement et la mise en œuvre du plan de mobilisation de connaissance. Il participe également à la co-supervision d’étudiants au premier cycle qui réalisent des stages sur ce thème.
Agent de recherche Insectarium Espace pour la vie
Agent de recherche Insectarium Espace pour la vie
André-Philippe Drapeau Picard est entomologiste et agent de recherche à l’Insectarium de Montréal à Espace pour la vie. Il s’intéresse aux relations humains-arthropodes. Il collabore à différents projets de science participative, notamment Mission monarque, eButterfly et l'Atlas des papillons de nuit du Québec.
André-Philippe Drapeau Picard siège sur le comité de l’axe 3 (Science citoyenne) du projet PARCS en Santé et joue un rôle clé dans le développement et la mise en œuvre du plan de mobilisation de connaissance. Il participe également à la co-supervision d’étudiants au premier cycle qui réalisent des stages sur ce thème.
Epidémiologiste Laboratoire National de Microbiologie Agence de la Santé Publique du Canada
Epidémiologiste Laboratoire National de Microbiologie Agence de la Santé Publique du Canada
Ariane Dumas est épidémiologiste au Laboratoire National de Microbiologie de l'Agence de santé publique du Canada (ASPC). Elle travaille au sein de la Division des sciences des risques pour la santé publique, dans l’unité responsable des maladies transmises par les tiques. En particulier, son travail est d’étudier les facteurs de risque environnementaux et populationnels, comme l’impact des changements climatiques associés à ces maladies et l’optimisation des efforts de surveillance et de contrôle de ces maladies.
De par son expertise, Ariane Dumas est impliquée à plusieurs étapes du projet PARCS en Santé, notamment pour l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes) où elle participe à l’encadrement d’une stagiaire, Jessica Hainault.
Epidémiologiste Laboratoire National de Microbiologie Agence de la Santé Publique du Canada
Epidémiologiste Laboratoire National de Microbiologie Agence de la Santé Publique du Canada
Ariane Dumas est épidémiologiste au Laboratoire National de Microbiologie de l'Agence de santé publique du Canada (ASPC). Elle travaille au sein de la Division des sciences des risques pour la santé publique, dans l’unité responsable des maladies transmises par les tiques. En particulier, son travail est d’étudier les facteurs de risque environnementaux et populationnels, comme l’impact des changements climatiques associés à ces maladies et l’optimisation des efforts de surveillance et de contrôle de ces maladies.
De par son expertise, Ariane Dumas est impliquée à plusieurs étapes du projet PARCS en Santé, notamment pour l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes) où elle participe à l’encadrement d’une stagiaire, Jessica Hainault.
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Département de biologie Université Laval
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Département de biologie Université Laval
Camille Desbiens est étudiante à la maîtrise en biologie à l’Université Laval. Son parcours académique reflète son intérêt pour la préservation de la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes. Elle adore explorer la nature à travers le plein air et le backpacking dans différents pays.
Son projet de recherche est réalisé dans le cadre du projet PARCS en santé, dans l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes). Il se concentre sur l’impact de la consommation sélective de plantes par le cerf de Virginie sur la régénération des écosystèmes forestiers. En utilisant un réseau expérimental de plantes sentinelles, elle évalue la résilience des milieux naturels protégés face aux pressions causées par les cerfs et développe des indicateurs écologiques pour guider les efforts de conservation.
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Département de biologie Université Laval
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Département de biologie Université Laval
Camille Desbiens est étudiante à la maîtrise en biologie à l’Université Laval. Son parcours académique reflète son intérêt pour la préservation de la biodiversité et le fonctionnement des écosystèmes. Elle adore explorer la nature à travers le plein air et le backpacking dans différents pays.
Son projet de recherche est réalisé dans le cadre du projet PARCS en santé, dans l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes). Il se concentre sur l’impact de la consommation sélective de plantes par le cerf de Virginie sur la régénération des écosystèmes forestiers. En utilisant un réseau expérimental de plantes sentinelles, elle évalue la résilience des milieux naturels protégés face aux pressions causées par les cerfs et développe des indicateurs écologiques pour guider les efforts de conservation.
Vétérinaire épidémiologiste Laboratoire national de microbiologie Agence de la santé publique du Canada
Vétérinaire épidémiologiste Laboratoire national de microbiologie Agence de la santé publique du Canada
Dr. Catherine Bouchard dirige l'unité des tiques et des maladies transmises par les tiques au sein de la division des sciences des risques en santé publique de l’ASPC et est professeure associée à l'Université de Montréal. Depuis l'obtention de son doctorat à l'Université de Montréal en 2014, la Dr. Bouchard travaille dans le domaine des zoonoses à transmission vectorielle et a créé un programme de recherche complet et novateur dans le domaine des maladies transmises par les tiques (MTT) émergentes dans le contexte des changements climatiques et environnementaux. Sa recherche est dédiée à l'amélioration de la prévention et de la réponse aux MTT émergentes, ré-émergentes et/ou endémiques. Son programme de recherche est organisé en quatre axes de recherche : (1) Évaluation intégrée des risques, (2) Compréhension de la dynamique de l'infection chez les hôtes naturels et dans l'environnement, (3) Optimisation des approches de surveillance intégrée/Une Seule Santé, et (4) Innovation dans la réduction des risques et la promotion de la santé.
Dans le cadre du projet PARCS en Santé, Catherine Bouchard utilise son expertise en éco-épidémiologie pour évaluer les risques liés aux tiques et aux maladies qu’elles transmettent et développe des stratégies de prévention efficaces. Elle co-dirige l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes), le comité des communications et participe à l’encadrement de l’étudiante Sabrina Faubert.
Vétérinaire épidémiologiste Laboratoire national de microbiologie Agence de la santé publique du Canada
Vétérinaire épidémiologiste Laboratoire national de microbiologie Agence de la santé publique du Canada
Dr. Catherine Bouchard dirige l'unité des tiques et des maladies transmises par les tiques au sein de la division des sciences des risques en santé publique de l’ASPC et est professeure associée à l'Université de Montréal. Depuis l'obtention de son doctorat à l'Université de Montréal en 2014, la Dr. Bouchard travaille dans le domaine des zoonoses à transmission vectorielle et a créé un programme de recherche complet et novateur dans le domaine des maladies transmises par les tiques (MTT) émergentes dans le contexte des changements climatiques et environnementaux. Sa recherche est dédiée à l'amélioration de la prévention et de la réponse aux MTT émergentes, ré-émergentes et/ou endémiques. Son programme de recherche est organisé en quatre axes de recherche : (1) Évaluation intégrée des risques, (2) Compréhension de la dynamique de l'infection chez les hôtes naturels et dans l'environnement, (3) Optimisation des approches de surveillance intégrée/Une Seule Santé, et (4) Innovation dans la réduction des risques et la promotion de la santé.
Dans le cadre du projet PARCS en Santé, Catherine Bouchard utilise son expertise en éco-épidémiologie pour évaluer les risques liés aux tiques et aux maladies qu’elles transmettent et développe des stratégies de prévention efficaces. Elle co-dirige l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes), le comité des communications et participe à l’encadrement de l’étudiante Sabrina Faubert.
Professeure agrégée Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Professeure agrégée Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Cécile Aenishaenslin est professeure à la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche en santé publique et au Groupe de recherche en épidémiologie des zoonoses et santé publique.
Médecin vétérinaire et épidémiologiste, Dre Aenishaenslin est également formée en santé publique et en études internationales. Chercheuse boursière des Fonds de la recherche du Québec en Santé, elle mène des travaux de recherche transdisciplinaire qui visent à mieux comprendre les effets des changements globaux sur les maladies animales et zoonotiques et à développer des interventions, programmes et politiques cohérents avec l'approche "Une seule santé".
Chercheuse principale et responsable du projet PARCS en Santé, Dre Aenishaenslin siège sur l’ensemble des comités et collabore à l'encadrement de plusieurs étudiants, notamment Jessica Hainault pour l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes) et Manon Boiteux pour l’axe 3 (Science citoyenne).
Professeure agrégée Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Professeure agrégée Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Cécile Aenishaenslin est professeure à la Faculté de médecine vétérinaire de l'Université de Montréal et chercheuse au Centre de recherche en santé publique et au Groupe de recherche en épidémiologie des zoonoses et santé publique.
Médecin vétérinaire et épidémiologiste, Dre Aenishaenslin est également formée en santé publique et en études internationales. Chercheuse boursière des Fonds de la recherche du Québec en Santé, elle mène des travaux de recherche transdisciplinaire qui visent à mieux comprendre les effets des changements globaux sur les maladies animales et zoonotiques et à développer des interventions, programmes et politiques cohérents avec l'approche "Une seule santé".
Chercheuse principale et responsable du projet PARCS en Santé, Dre Aenishaenslin siège sur l’ensemble des comités et collabore à l'encadrement de plusieurs étudiants, notamment Jessica Hainault pour l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes) et Manon Boiteux pour l’axe 3 (Science citoyenne).
Médecin-conseil Direction de santé publique CIUSSS de l'Estrie-CHUS
Médecin-conseil Direction de santé publique CIUSSS de l'Estrie-CHUS
À venir
Médecin-conseil Direction de santé publique CIUSSS de l'Estrie-CHUS
Médecin-conseil Direction de santé publique CIUSSS de l'Estrie-CHUS
À venir
Architecte paysagiste Professeure adjointe d’architecture de paysage Université de Montréal
Architecte paysagiste Professeure adjointe d’architecture de paysage Université de Montréal
Heather Braiden est architecte paysagiste et professeure adjointe d’architecture de paysage à l’Université de Montréal. Elle est membre fondatrice du Land | Terre Design Research Network et a joué un rôle déterminant dans l’élaboration du programme BTech en architecture de paysage de l’Université Dalhousie. Ses recherches portent sur la réhabilitation de la « remise en valeur » des paysages post-industriels du Canada et sur la pédagogie du design.
Heather Braiden coordonne un cours à la Faculté de l’aménagement de l’UdeM, offrant aux étudiants en architecture du paysage une opportunité de formation dans le cadre du projet PARCS en Santé. Les étudiants développent ainsi des projets d’aménagement pour les six parcs participants.
Architecte paysagiste Professeure adjointe d’architecture de paysage Université de Montréal
Architecte paysagiste Professeure adjointe d’architecture de paysage Université de Montréal
Heather Braiden est architecte paysagiste et professeure adjointe d’architecture de paysage à l’Université de Montréal. Elle est membre fondatrice du Land | Terre Design Research Network et a joué un rôle déterminant dans l’élaboration du programme BTech en architecture de paysage de l’Université Dalhousie. Ses recherches portent sur la réhabilitation de la « remise en valeur » des paysages post-industriels du Canada et sur la pédagogie du design.
Heather Braiden coordonne un cours à la Faculté de l’aménagement de l’UdeM, offrant aux étudiants en architecture du paysage une opportunité de formation dans le cadre du projet PARCS en Santé. Les étudiants développent ainsi des projets d’aménagement pour les six parcs participants.
Professeur Département de sciences biologiques Université de Montréal
Professeur Département de sciences biologiques Université de Montréal
Jacques Brodeur est professeur titulaire au Département de sciences biologiques de l’Université de Montréal et membre de l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV). Ex-titulaire de la Chaire de recherche du Canada en lutte biologique (2005-2019), il poursuit trois principaux objectifs. Un premier objectif consiste à explorer les bases théoriques en écologie, en biologie des populations et en modélisation afin de favoriser le déploiement de la lutte biologique. Un second objectif vise à accélérer le développement de nouveaux agents de lutte biologique. Enfin, les travaux de recherche de M. Brodeur contribuent à promouvoir la lutte biologique auprès des décideurs, des utilisateurs et du grand public. La problématique des pesticides de synthèse s’insère au cœur des préoccupations citoyennes de M. Brodeur. En parallèle, il s’intéresse aux risques environnementaux associés à l’introduction volontaire (dans le contexte de programmes de lutte biologique) ou accidentelle d’arthropodes exotiques et envahissants.
Jacques Brodeur contribue au projet PARCS en Santé de par son expertise sur le parasitisme et la lutte biologique. Il collabore plus spécifiquement aux travaux des axes 1 (Tiques et agents pathogènes) et 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes) et siège au comité des communications.
Professeur Département de sciences biologiques Université de Montréal
Professeur Département de sciences biologiques Université de Montréal
Jacques Brodeur est professeur titulaire au Département de sciences biologiques de l’Université de Montréal et membre de l’Institut de recherche en biologie végétale (IRBV). Ex-titulaire de la Chaire de recherche du Canada en lutte biologique (2005-2019), il poursuit trois principaux objectifs. Un premier objectif consiste à explorer les bases théoriques en écologie, en biologie des populations et en modélisation afin de favoriser le déploiement de la lutte biologique. Un second objectif vise à accélérer le développement de nouveaux agents de lutte biologique. Enfin, les travaux de recherche de M. Brodeur contribuent à promouvoir la lutte biologique auprès des décideurs, des utilisateurs et du grand public. La problématique des pesticides de synthèse s’insère au cœur des préoccupations citoyennes de M. Brodeur. En parallèle, il s’intéresse aux risques environnementaux associés à l’introduction volontaire (dans le contexte de programmes de lutte biologique) ou accidentelle d’arthropodes exotiques et envahissants.
Jacques Brodeur contribue au projet PARCS en Santé de par son expertise sur le parasitisme et la lutte biologique. Il collabore plus spécifiquement aux travaux des axes 1 (Tiques et agents pathogènes) et 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes) et siège au comité des communications.
Professeur Département de sciences biologiques Université Bishop’s
Professeur Département de sciences biologiques Université Bishop’s
Dr. Jade Savage est professeure titulaire au département des sciences biologiques de l'Université Bishop's. Elle a obtenu son baccalauréat en biologie et son doctorat en entomologie à l'Université McGill. Elle possède une expérience en surveillance électronique des tiques.
Dr. Savage est la chercheuse principale d'eTick (www.etick.ca ), une plateforme publique électronique pour l'identification par image et le suivi des populations de tiques au Canada. Ce projet de science citoyenne invite le public à participer à la surveillance des tiques au Canada en soumettant des photos de tiques sur l'application ou le site web eTick pour identification par un professionnel.
Dr. Savage offre donc à PARCS en Santé, son expertise à titre d'entomologiste et est impliquée dans l’axe 3 (Science citoyenne).
Professeur Département de sciences biologiques Université Bishop’s
Professeur Département de sciences biologiques Université Bishop’s
Dr. Jade Savage est professeure titulaire au département des sciences biologiques de l'Université Bishop's. Elle a obtenu son baccalauréat en biologie et son doctorat en entomologie à l'Université McGill. Elle possède une expérience en surveillance électronique des tiques.
Dr. Savage est la chercheuse principale d'eTick (www.etick.ca ), une plateforme publique électronique pour l'identification par image et le suivi des populations de tiques au Canada. Ce projet de science citoyenne invite le public à participer à la surveillance des tiques au Canada en soumettant des photos de tiques sur l'application ou le site web eTick pour identification par un professionnel.
Dr. Savage offre donc à PARCS en Santé, son expertise à titre d'entomologiste et est impliquée dans l’axe 3 (Science citoyenne).
Vétérinaire / Épidémiologiste / Professeur Département de Santé animale Cégep de Saint-Hyacinthe
Vétérinaire / Épidémiologiste / Professeur Département de Santé animale Cégep de Saint-Hyacinthe
Titulaire d’un doctorat en médecine vétérinaire et d’un PhD en épidémiologie de l’Université de Montréal, Jean-Philippe Rocheleau a débuté sa carrière comme clinicien en médecine et chirurgie des animaux de compagnie, puis comme professeur et coordonnateur du département de Santé animale au Cégep de Saint-Hyacinthe. Il est professeur associé à la Faculté de médecine vétérinaire depuis 2019. Ses travaux visent aujourd’hui l’application des principes "Une seule santé" à divers enjeux à l’interface humain-animal-environnement. Il privilégie l'application de méthodes épidémiologiques, d’analyses spatiales et de recherche qualitative à l’analyse intégrée des données provenant de différentes espèces, incluant l’humain.
Jean-Philippe Rocheleau apporte au projet PARCS en Santé son expertise en science vétérinaire. Il collabore étroitement aux travaux de l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes) et supervise l’étudiante Jessica Hainault.
Vétérinaire / Épidémiologiste / Professeur Département de Santé animale Cégep de Saint-Hyacinthe
Vétérinaire / Épidémiologiste / Professeur Département de Santé animale Cégep de Saint-Hyacinthe
Titulaire d’un doctorat en médecine vétérinaire et d’un PhD en épidémiologie de l’Université de Montréal, Jean-Philippe Rocheleau a débuté sa carrière comme clinicien en médecine et chirurgie des animaux de compagnie, puis comme professeur et coordonnateur du département de Santé animale au Cégep de Saint-Hyacinthe. Il est professeur associé à la Faculté de médecine vétérinaire depuis 2019. Ses travaux visent aujourd’hui l’application des principes "Une seule santé" à divers enjeux à l’interface humain-animal-environnement. Il privilégie l'application de méthodes épidémiologiques, d’analyses spatiales et de recherche qualitative à l’analyse intégrée des données provenant de différentes espèces, incluant l’humain.
Jean-Philippe Rocheleau apporte au projet PARCS en Santé son expertise en science vétérinaire. Il collabore étroitement aux travaux de l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes) et supervise l’étudiante Jessica Hainault.
Professeur titulaire Département de biologie Université Laval
Professeur titulaire Département de biologie Université Laval
Le programme de recherche que poursuit Jean-Pierre Tremblay couvre différents aspects de l'écologie appliquée des milieux terrestres. Il se situe à l'interface de l'écologie animale, de l'écologie forestière et de la gestion des ressources naturelles. Plus spécifiquement, ses travaux sont centrés sur le rôle des ongulés dans la dynamique des écosystèmes forestiers et inversement sur les réponses des populations de ces animaux aux variations dans la disponibilité et la qualité des ressources. L'un des défis de l'étude des interactions entre les plantes et les herbivores consiste à aborder le problème tantôt du point de vue de l'herbivore, tantôt du point de vue des ressources et ce à différentes échelles d'analyse (individu, population, communauté, paysage). Ses travaux combinent une approche expérimentale permettant d'investiguer les relations entre la densité d'herbivores et l'état des écosystèmes forestiers, des expériences naturelles à plus grande échelle et la modélisation des systèmes cerf-forêt.
Jean-Pierre Tremblay est responsable de l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes) du projet PARCS en Santé. Il est également co-porteur du projet global et assure l’encadrement de Camille Desbiens, étudiante du projet.
Professeur titulaire Département de biologie Université Laval
Professeur titulaire Département de biologie Université Laval
Le programme de recherche que poursuit Jean-Pierre Tremblay couvre différents aspects de l'écologie appliquée des milieux terrestres. Il se situe à l'interface de l'écologie animale, de l'écologie forestière et de la gestion des ressources naturelles. Plus spécifiquement, ses travaux sont centrés sur le rôle des ongulés dans la dynamique des écosystèmes forestiers et inversement sur les réponses des populations de ces animaux aux variations dans la disponibilité et la qualité des ressources. L'un des défis de l'étude des interactions entre les plantes et les herbivores consiste à aborder le problème tantôt du point de vue de l'herbivore, tantôt du point de vue des ressources et ce à différentes échelles d'analyse (individu, population, communauté, paysage). Ses travaux combinent une approche expérimentale permettant d'investiguer les relations entre la densité d'herbivores et l'état des écosystèmes forestiers, des expériences naturelles à plus grande échelle et la modélisation des systèmes cerf-forêt.
Jean-Pierre Tremblay est responsable de l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes) du projet PARCS en Santé. Il est également co-porteur du projet global et assure l’encadrement de Camille Desbiens, étudiante du projet.
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Jessica Hainault a complété son baccalauréat en sciences biologiques et écologiques de l’UQTR en 2024. Depuis 2022, elle travaille comme coordonnatrice de recherche sur plusieurs projets au sein du GREZOSP, notamment la portion terrain du volet tiques de PARCS en Santé. Curieuse de nature et portant un intérêt particulier aux interactions entre les organismes vivants, elle apprécie grandement le travail en plein air. Il s’avérait donc naturel pour elle de poursuivre ses études aux cycles supérieurs. Depuis mai 2024, elle est étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires, profil épidémiologie.
Son projet de recherche fait partie intégrante du projet PARCS en Santé et s’inscrit dans l’axe 1, Tique et agents pathogènes. Sous la direction de Cécile Aenishaenslin et la codirection de Patrick A. Leighton et d’Ariane Dumas, il porte sur l’évaluation de l’effet de l’abondance relative des cerfs et d’autres variables écologiques sur le risque environnemental de maladies transmises par les tiques dans les parcs-nature périurbains.
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Jessica Hainault a complété son baccalauréat en sciences biologiques et écologiques de l’UQTR en 2024. Depuis 2022, elle travaille comme coordonnatrice de recherche sur plusieurs projets au sein du GREZOSP, notamment la portion terrain du volet tiques de PARCS en Santé. Curieuse de nature et portant un intérêt particulier aux interactions entre les organismes vivants, elle apprécie grandement le travail en plein air. Il s’avérait donc naturel pour elle de poursuivre ses études aux cycles supérieurs. Depuis mai 2024, elle est étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaires, profil épidémiologie.
Son projet de recherche fait partie intégrante du projet PARCS en Santé et s’inscrit dans l’axe 1, Tique et agents pathogènes. Sous la direction de Cécile Aenishaenslin et la codirection de Patrick A. Leighton et d’Ariane Dumas, il porte sur l’évaluation de l’effet de l’abondance relative des cerfs et d’autres variables écologiques sur le risque environnemental de maladies transmises par les tiques dans les parcs-nature périurbains.
Professeure agrégée École de santé publique Université de Montréal
Professeure agrégée École de santé publique Université de Montréal
Kate Zinszer est épidémiologiste, professeure agrégée au Département de médecine sociale et préventive de l'Université de Montréal (ESPUM) et chercheuse au Centre de recherche en santé publique (CReSP). Elle détient un doctorat (Ph.D) en épidémiologie de l’Université McGill et un postdoctorat en épidémiologie computationnelle de la Harvard Medical School. Ayant pratiqué l'épidémiologie en santé publique dans diverses autorités de santé publique avant son doctorat, son parcours interdisciplinaire lui permet d'utiliser des outils issus des domaines de l'épidémiologie, de la santé publique, de l'informatique et des statistiques pour démêler les causes, prédire les fardeaux futurs et évaluer l'efficacité des interventions pour les maladies infectieuses.
Dans le cadre du projet PARCS en Santé, Kate Zinszer offre son expertise en santé publique à titre de collaboratrice académique et siège sur le comité de l’axe 3 (Science citoyenne).
Professeure agrégée École de santé publique Université de Montréal
Professeure agrégée École de santé publique Université de Montréal
Kate Zinszer est épidémiologiste, professeure agrégée au Département de médecine sociale et préventive de l'Université de Montréal (ESPUM) et chercheuse au Centre de recherche en santé publique (CReSP). Elle détient un doctorat (Ph.D) en épidémiologie de l’Université McGill et un postdoctorat en épidémiologie computationnelle de la Harvard Medical School. Ayant pratiqué l'épidémiologie en santé publique dans diverses autorités de santé publique avant son doctorat, son parcours interdisciplinaire lui permet d'utiliser des outils issus des domaines de l'épidémiologie, de la santé publique, de l'informatique et des statistiques pour démêler les causes, prédire les fardeaux futurs et évaluer l'efficacité des interventions pour les maladies infectieuses.
Dans le cadre du projet PARCS en Santé, Kate Zinszer offre son expertise en santé publique à titre de collaboratrice académique et siège sur le comité de l’axe 3 (Science citoyenne).
Professeure Département de sciences naturelles Université du Québec en Outaouais
Professeure Département de sciences naturelles Université du Québec en Outaouais
Grâce à son expertise sur les aspects socio-écologiques liés à la gestion des écosystèmes, Katrine Turgeon contribue aux travaux de l’axe 3 (Science citoyenne) et co-supervise l’étudiante de ce projet, Manon Boiteux. Elle siège également au comité des communications.
Professeure Département de sciences naturelles Université du Québec en Outaouais
Professeure Département de sciences naturelles Université du Québec en Outaouais
Grâce à son expertise sur les aspects socio-écologiques liés à la gestion des écosystèmes, Katrine Turgeon contribue aux travaux de l’axe 3 (Science citoyenne) et co-supervise l’étudiante de ce projet, Manon Boiteux. Elle siège également au comité des communications.
Candidate au doctorat en Une Seule Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Candidate au doctorat en Une Seule Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Manon Boiteux est étudiante au doctorat individualisé en Une Seule Santé à l’Université de Montréal (UdeM). Elle est titulaire d’une maîtrise en sciences de l’environnement et a travaillé plusieurs années dans le milieu de la recherche en tant que conseillère à la recherche du Laboratoire d'innovation du Vice-Rectorat à la recherche, à la découverte, à la création et à l’innovation de l'UdeM. Elle a notamment contribué à la mise en place de l’Initiative Une Seule Santé de l’UdeM et y est toujours engagée en tant que représentante du Club Étudiant Une Seule Santé. Elle soutient aussi le développement de nouvelles formations en USS à l’UdeM (école d’été, microprogramme de 3ème cycle et doctorat).
Dans son projet de doctorat lié à l’axe 3 du projet PARCS en Santé, elle s’intéresse aux approches inter et transdisciplinaires et participatives. Plus spécifiquement, elle travaille sur l’évaluation de la science citoyenne comme outil d’intervention pour prévenir les risques de maladies transmises par les tiques et participer à la conservation des écosystèmes des parcs périurbains au Québec. Elle réalise ce doctorat au sein de la Chaire de recherche Une Seule Santé Urbaine.
Candidate au doctorat en Une Seule Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Candidate au doctorat en Une Seule Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Manon Boiteux est étudiante au doctorat individualisé en Une Seule Santé à l’Université de Montréal (UdeM). Elle est titulaire d’une maîtrise en sciences de l’environnement et a travaillé plusieurs années dans le milieu de la recherche en tant que conseillère à la recherche du Laboratoire d'innovation du Vice-Rectorat à la recherche, à la découverte, à la création et à l’innovation de l'UdeM. Elle a notamment contribué à la mise en place de l’Initiative Une Seule Santé de l’UdeM et y est toujours engagée en tant que représentante du Club Étudiant Une Seule Santé. Elle soutient aussi le développement de nouvelles formations en USS à l’UdeM (école d’été, microprogramme de 3ème cycle et doctorat).
Dans son projet de doctorat lié à l’axe 3 du projet PARCS en Santé, elle s’intéresse aux approches inter et transdisciplinaires et participatives. Plus spécifiquement, elle travaille sur l’évaluation de la science citoyenne comme outil d’intervention pour prévenir les risques de maladies transmises par les tiques et participer à la conservation des écosystèmes des parcs périurbains au Québec. Elle réalise ce doctorat au sein de la Chaire de recherche Une Seule Santé Urbaine.
Professeur adjoint Département des sciences fondamentales Université du Québec à Chicoutimi
Professeur adjoint Département des sciences fondamentales Université du Québec à Chicoutimi
Martin Leclerc est professeur au département des sciences fondamentales de l’Université du Québec à Chicoutimi et professeur associé au département de biologie de l’Université de Sherbrooke. Sa formation en biologie et gestion de la faune lui a permis de mener des travaux de recherche sur plusieurs espèces (ours brun, ours noir, caribou, cougar, sanglier, cerf, etc.) au Québec, aux États-Unis et en Scandinavie. Ses recherches visent à quantifier l’influence des changements climatiques, la modification des habitats et de la récolte humaine sur le comportement, la reproduction et la survie des espèces sauvages. Les résultats de ses recherches apportent de nouvelles connaissances à des questions théoriques importantes et aident à développer des actions efficaces pour la gestion et la conservation de la biodiversité.
Martin Leclerc co-dirige l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes), du projet PARCS en Santé et assure l’encadrement d’un stage de doctorat inscrit au projet.
Professeur adjoint Département des sciences fondamentales Université du Québec à Chicoutimi
Professeur adjoint Département des sciences fondamentales Université du Québec à Chicoutimi
Martin Leclerc est professeur au département des sciences fondamentales de l’Université du Québec à Chicoutimi et professeur associé au département de biologie de l’Université de Sherbrooke. Sa formation en biologie et gestion de la faune lui a permis de mener des travaux de recherche sur plusieurs espèces (ours brun, ours noir, caribou, cougar, sanglier, cerf, etc.) au Québec, aux États-Unis et en Scandinavie. Ses recherches visent à quantifier l’influence des changements climatiques, la modification des habitats et de la récolte humaine sur le comportement, la reproduction et la survie des espèces sauvages. Les résultats de ses recherches apportent de nouvelles connaissances à des questions théoriques importantes et aident à développer des actions efficaces pour la gestion et la conservation de la biodiversité.
Martin Leclerc co-dirige l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes), du projet PARCS en Santé et assure l’encadrement d’un stage de doctorat inscrit au projet.
Directeur Insectarium Espace pour la vie
Directeur Insectarium Espace pour la vie
Maxim Larrivée est entomologiste et directeur de l’Insectarium de Montréal à Espace pour la vie. Il s’intéresse aussi aux outils qui permettent de documenter la répartition des espèces d’insectes dans le temps et l’espace. Il combine plusieurs approches novatrices de suivi de la biodiversité, notamment la science participative et l’intelligence artificielle.
Maxim Larrivée siège sur le comité scientifique du projet PARCS en Santé. À titre de partenaire du projet, Espace pour la vie contribue à la mise en œuvre du plan de mobilisation de connaissance.
Directeur Insectarium Espace pour la vie
Directeur Insectarium Espace pour la vie
Maxim Larrivée est entomologiste et directeur de l’Insectarium de Montréal à Espace pour la vie. Il s’intéresse aussi aux outils qui permettent de documenter la répartition des espèces d’insectes dans le temps et l’espace. Il combine plusieurs approches novatrices de suivi de la biodiversité, notamment la science participative et l’intelligence artificielle.
Maxim Larrivée siège sur le comité scientifique du projet PARCS en Santé. À titre de partenaire du projet, Espace pour la vie contribue à la mise en œuvre du plan de mobilisation de connaissance.
Chercheur faune terrestre et avifaune Direction générale de la gestion de la faune Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
Chercheur faune terrestre et avifaune Direction générale de la gestion de la faune Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
Maxime Lavoie est chercheur au ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Ses travaux de recherches visent à assurer une gestion saine des populations de diverses espèces de faune exploitée aussi bien terrestre qu’aviaire. Il s’intéresse plus spécifiquement à la modélisation des populations, à l’effet des changements climatiques sur la faune et aux paramètres d’histoire de vie expliquant la dynamique des populations. Il a développé une expertise sur les espèces à la limite nordique de leur aire de répartition.
Maxime Lavoie siège sur le comité de l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes) du projet PARCS en Santé et joue un rôle clé dans le développement et la mise en œuvre des captures de cerfs de Virginie. Il assure également l’encadrement d’un stage de doctorat inscrit au projet.
Chercheur faune terrestre et avifaune Direction générale de la gestion de la faune Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
Chercheur faune terrestre et avifaune Direction générale de la gestion de la faune Ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs
Maxime Lavoie est chercheur au ministère de l’Environnement, de la Lutte contre les changements climatiques, de la Faune et des Parcs. Ses travaux de recherches visent à assurer une gestion saine des populations de diverses espèces de faune exploitée aussi bien terrestre qu’aviaire. Il s’intéresse plus spécifiquement à la modélisation des populations, à l’effet des changements climatiques sur la faune et aux paramètres d’histoire de vie expliquant la dynamique des populations. Il a développé une expertise sur les espèces à la limite nordique de leur aire de répartition.
Maxime Lavoie siège sur le comité de l’axe 2 (Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes) du projet PARCS en Santé et joue un rôle clé dans le développement et la mise en œuvre des captures de cerfs de Virginie. Il assure également l’encadrement d’un stage de doctorat inscrit au projet.
Coordonnatrice du projet PARCS en Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Coordonnatrice du projet PARCS en Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Mélanie Dappen est coordonnatrice du projet PARCS en Santé. Biologiste de formation, elle a travaillé pendant près de 15 ans au sein de l’organisme GUEPE à titre de directrice régionale. Responsable des services éducatifs, de la formation aux employé.e.s, du développement des contenus éducatifs et de l’ensemble des projets réalisés dans la grande région métropolitaine,. Son expérience l’a amené à interagir avec des clientèles variées dans de nombreux contextes et à collaborer avec des partenaires issus de différents secteurs (académique, municipal, gouvernemental, communautaire, philanthropique, etc.). Elle a également développé de nombreuses formations, ateliers et outils éducatifs, notamment sur la biodiversité, l’enseignement en plein air, l’interprétation des espaces verts ou sur la coexistence avec la faune. Elle est reconnue pour son expertise en vulgarisation et sensibilisation du public.
Les grands parcs naturels sont ses terrains de jeu préférés et la coordination du projet PARCS en Santé représente maintenant pour elle une opportunité de contribuer à la préservation de ces espaces naturels.
Coordonnatrice du projet PARCS en Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Coordonnatrice du projet PARCS en Santé Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Mélanie Dappen est coordonnatrice du projet PARCS en Santé. Biologiste de formation, elle a travaillé pendant près de 15 ans au sein de l’organisme GUEPE à titre de directrice régionale. Responsable des services éducatifs, de la formation aux employé.e.s, du développement des contenus éducatifs et de l’ensemble des projets réalisés dans la grande région métropolitaine,. Son expérience l’a amené à interagir avec des clientèles variées dans de nombreux contextes et à collaborer avec des partenaires issus de différents secteurs (académique, municipal, gouvernemental, communautaire, philanthropique, etc.). Elle a également développé de nombreuses formations, ateliers et outils éducatifs, notamment sur la biodiversité, l’enseignement en plein air, l’interprétation des espaces verts ou sur la coexistence avec la faune. Elle est reconnue pour son expertise en vulgarisation et sensibilisation du public.
Les grands parcs naturels sont ses terrains de jeu préférés et la coordination du projet PARCS en Santé représente maintenant pour elle une opportunité de contribuer à la préservation de ces espaces naturels.
Responsable du service de la conservation et de l'éducation Parcs nationaux des Iles-de-Boucherville et du Mont-Saint-Bruno
Responsable du service de la conservation et de l'éducation Parcs nationaux des Iles-de-Boucherville et du Mont-Saint-Bruno
Bio à venir
Responsable du service de la conservation et de l'éducation Parcs nationaux des Iles-de-Boucherville et du Mont-Saint-Bruno
Responsable du service de la conservation et de l'éducation Parcs nationaux des Iles-de-Boucherville et du Mont-Saint-Bruno
Bio à venir
Professeur d’épidémiologie et de santé publique Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Professeur d’épidémiologie et de santé publique Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Patrick Leighton est Professeur d’épidémiologie et de santé publique à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal. Sa recherche porte sur les zoonoses, et en particulier l’impact des changements climatiques sur l’épidémiologie de ces maladies et le risque qu’elles posent pour la santé publique. Dr Leighton est directeur du Réseau canadien de recherche sur les maladies transmises par les tiques (TickNet Canada).
Dr Leighton est co-porteur du projet PARCS en Santé et responsable de l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes). Il collabore également à l’encadrement de deux étudiantes du même axe (Jessica Hainault et Sabrina Faubert).
Professeur d’épidémiologie et de santé publique Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Professeur d’épidémiologie et de santé publique Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Patrick Leighton est Professeur d’épidémiologie et de santé publique à la Faculté de médecine vétérinaire de l’Université de Montréal. Sa recherche porte sur les zoonoses, et en particulier l’impact des changements climatiques sur l’épidémiologie de ces maladies et le risque qu’elles posent pour la santé publique. Dr Leighton est directeur du Réseau canadien de recherche sur les maladies transmises par les tiques (TickNet Canada).
Dr Leighton est co-porteur du projet PARCS en Santé et responsable de l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes). Il collabore également à l’encadrement de deux étudiantes du même axe (Jessica Hainault et Sabrina Faubert).
Chef gestion des parcs-nature Direction de l’environnement et de la transition écologique Ville de Longueuil
Chef gestion des parcs-nature Direction de l’environnement et de la transition écologique Ville de Longueuil
Au sein du projet PARCS en Santé, Philippe-Olivier Boucher siège sur les trois comités d’axe (Tiques et agents pathogènes, Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes et Science citoyenne) en plus de s’impliquer sur le comité des communications. Il soutient également le projet en favorisant l’arrimage entre les besoins du projet la Ville de Longueuil.
Chef gestion des parcs-nature Direction de l’environnement et de la transition écologique Ville de Longueuil
Chef gestion des parcs-nature Direction de l’environnement et de la transition écologique Ville de Longueuil
Au sein du projet PARCS en Santé, Philippe-Olivier Boucher siège sur les trois comités d’axe (Tiques et agents pathogènes, Cerfs de Virginie et restauration des écosystèmes et Science citoyenne) en plus de s’impliquer sur le comité des communications. Il soutient également le projet en favorisant l’arrimage entre les besoins du projet la Ville de Longueuil.
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaire Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaire Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Sabrina Faubert a débuté son parcours dans le domaine de la biologie au Cégep dans le programme de Techniques de bioécologie. Depuis, elle a acquis une variété d’expériences professionnelles sur le terrain et en laboratoire en travaillant en tant que technicienne. Elle a également complété le baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés à l’Université Laval.
C’est avec enthousiasme qu’elle entreprend le prochain défi de son parcours au sein du projet PARCS en Santé. Elle y fait une maîtrise en sciences vétérinaires option épidémiologie. Son projet, imbriqué à l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes), vise l’évaluation de l’effet d’une intervention intégrée combinant le contrôle de cerfs et le traitement acaricide des rongeurs sur le risque environnemental de maladies transmises par les tiques. Elle l’effectue sous la supervision de Jean-Philippe Rocheleau, accompagné de Catherine Bouchard et de Patrick Leighton en codirection.
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaire Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Étudiante à la maîtrise en sciences vétérinaire Faculté de médecine vétérinaire Université de Montréal
Sabrina Faubert a débuté son parcours dans le domaine de la biologie au Cégep dans le programme de Techniques de bioécologie. Depuis, elle a acquis une variété d’expériences professionnelles sur le terrain et en laboratoire en travaillant en tant que technicienne. Elle a également complété le baccalauréat intégré en environnements naturels et aménagés à l’Université Laval.
C’est avec enthousiasme qu’elle entreprend le prochain défi de son parcours au sein du projet PARCS en Santé. Elle y fait une maîtrise en sciences vétérinaires option épidémiologie. Son projet, imbriqué à l’axe 1 (Tiques et agents pathogènes), vise l’évaluation de l’effet d’une intervention intégrée combinant le contrôle de cerfs et le traitement acaricide des rongeurs sur le risque environnemental de maladies transmises par les tiques. Elle l’effectue sous la supervision de Jean-Philippe Rocheleau, accompagné de Catherine Bouchard et de Patrick Leighton en codirection.
Professeure agrégée Département de sociologie Université de Montréal
Professeure agrégée Département de sociologie Université de Montréal
Les intérêts de recherche de Sarah Teitelbaum touchent les dimensions participatives de la gestion des ressources, avec un accent particulier sur les régions nordiques. Par le biais de recherches comparatives en milieu forestier, elle s'intéresse aux modèles de gouvernance, notamment le rôle de la décentralisation/dévolution et la participation du public. Cela comprend le travail avec les communautés autochtones et non autochtones au Canada ainsi qu'en Scandinavie. Elle est également impliquée dans des recherches comparatives sur les transformations des économies rurales, avec un accent particulier sur les relations entre les communautés rurales et l'environnement naturel. Je travaille avec des méthodes qualitatives.
Grâce à son expertise en mobilisation citoyenne Sara Teitelbaum contribue aux travaux de l’axe 3 (Science citoyenne).
Professeure agrégée Département de sociologie Université de Montréal
Professeure agrégée Département de sociologie Université de Montréal
Les intérêts de recherche de Sarah Teitelbaum touchent les dimensions participatives de la gestion des ressources, avec un accent particulier sur les régions nordiques. Par le biais de recherches comparatives en milieu forestier, elle s'intéresse aux modèles de gouvernance, notamment le rôle de la décentralisation/dévolution et la participation du public. Cela comprend le travail avec les communautés autochtones et non autochtones au Canada ainsi qu'en Scandinavie. Elle est également impliquée dans des recherches comparatives sur les transformations des économies rurales, avec un accent particulier sur les relations entre les communautés rurales et l'environnement naturel. Je travaille avec des méthodes qualitatives.
Grâce à son expertise en mobilisation citoyenne Sara Teitelbaum contribue aux travaux de l’axe 3 (Science citoyenne).
Conseiller principal recherche Spécialiste de données Université de Montréal
Conseiller principal recherche Spécialiste de données Université de Montréal
Yves Terrat apporte un soutien technique pour l'utilisation des plateformes de calcul de haute performance, le traitement de données complexes et l'utilisation d'algorithmes d'intelligence artificielle dans le domaine de la santé. Il est impliqué dans des thématiques Une Seule Santé et dans des projets de lutte contre l'antibiorésistance, la maladie de Lyme et Une Seule Santé Urbaine et notamment avec PARCS en Santé.
Conseiller principal recherche Spécialiste de données Université de Montréal
Conseiller principal recherche Spécialiste de données Université de Montréal
Yves Terrat apporte un soutien technique pour l'utilisation des plateformes de calcul de haute performance, le traitement de données complexes et l'utilisation d'algorithmes d'intelligence artificielle dans le domaine de la santé. Il est impliqué dans des thématiques Une Seule Santé et dans des projets de lutte contre l'antibiorésistance, la maladie de Lyme et Une Seule Santé Urbaine et notamment avec PARCS en Santé.
Pour rejoindre l'équipe de PARCS en Santé, écrivez-nous à l'adresse suivante: parcsensante@umontreal.ca